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islamisation de la france - Page 4

  • La Mairie de Paris condamnée à dédommager les contribuables parisiens pour ses aides déguisées à l’Institut des Cultures d’Islam !

     

    L’information date du 30 octobre 2015, mais elle est passée totalement inaperçue.  Publiée à l’origine par le site Dreuz, proche des ultras israéliens,  elle révèle que la Mairie de Paris a été condamnée a dédommager les contribuables parisiens pour les 14 millions investis dans l’Institut des Cultes d’Islam.

    Suite à la plainte d’un Parisien pour « détournement d’argent public »,  la Cour d’appel, présidée par Madame Odile Fuchs-Taugourdeau a cassé le bail, annulé les contrats, et demandé des réparations, en cassant le délibération du Conseil de Paris des 22 et 23 avril 2013, ainsi que le jugement n° 1308715/2-1 du Tribunal administratif de Paris.

    En effet,  La Société des Habous et des Lieux Saints de l’Islam avait réussi à obtenir un bail emphytéotique de la Mairie de Paris, en contravention avec la loi de 1905 sur la laicité.

    « Un contribuable a attaqué les décisions du Conseil de Paris des 22 et 23 avril 2013 – et a gagné en appel – en affirmant que :

    – le bail signé pour 1 euro par la Mairie est une subvention déguisée pour l’exercice d’un culte,

    – la nature cultuelle de la Société des Habous et des Lieux Saints de l’Islam a été délibérément dissimulée aux élus du Conseil de Paris,

    – le coût des travaux est supporté par les impôts locaux des Parisiens, mais l’édifice construit ne reviendra pas à la ville de Paris à l’expiration du bail,

    – le prix de vente (moins de 2.2 millions d’euros) d’un immeuble destiné à l’opération est anormalement bas et cache une subvention déguisée,

    – l’ensemble de l’opération est entouré d’opacité : les documents concernant les dépenses, leur affectation, les aspects financiers, l’évaluation de France domaine, ont été cachés aux élus membres du Conseil de Paris,

    – le principe de séparation des cultes et de l’Etat a été violé,

    – le code général des collectivités territoriales sur la neutralité confessionnelle n’a pas été respecté,

    Il a donc demandé au Tribunal administratif de dire que les actes signés par la Mairie de Paris dans cette opération religieuse sont tous illégaux, que l’opération cache une subvention déguisée en infraction avec la Constitution française sur la laïcité, et que le principe d’égalité de traitement entre les citoyens, auquel les socialistes disent être très attachés, a été piétiné.

    Le requérant a donc demandé au Tribunal de casser le bail, d’annuler les contrats, et demandé la réparation de son préjudice lié à l’augmentation de ses impôts fonciers entrainés par les dépenses illégales de la Ville de Paris dans ce dossier. » « le Tribunal a annulé « la décision du maire de Paris de conclure le bail emphytétotique consenti à la Société des Habous et des Lieux Saints de l’Islam ».

    La Ville de Paris à été en outre condamnée à  verser 1500 euros au contribuable abusé, au titre de l’article L.761-1 du code de justice administrative. » (…)

    Ce n’est pas la première fois que la société des Habous est épinglée par la justice : le 16 mars 2004, le jugement n°0103376 du Tribunal Administratif d’Orléans présidée par Madame Claire Jeangirard-Dufal a donné raison à la Fédération d’Indre-et-Loire de la Libre Pensée contre la mairie de Tours qui avait décidé de céder à la société des Habous et lieux saints de l’Islam une emprise foncière d’une superficie d’environ 9.500m² située avenue Charles Bedaux à Tours pour un prix de vente de 50.000 francs (7.622,45 euros).

    Le maire de Paris à l’époque était Bertrand Delanoë. Celle qui lui succéda, Anne Hidalgo, fut elle-même épinglée pour les 70.000 euros dépensés en 2014 par la Mairie pour les célébrations du Ramadan. Elle fut également condamnée pour ses mensonges historiques, accusant un parti fondé en 1972 d’avoir eut des activités répréhensibles en 1940… Notons que cette inspectrice du travail est à la retraite depuis 2011, retraite obtenue à l’âge de 51 ans !

    Cette affaire mérite d’ailleurs d’être étudiée de près, car Anne Hidalgo, inspectrice du travail, a occupé les fonctions de conseillère technique  de novembre 2000 à juillet 2001 au cabinet de Marylise Lebranchu, garde des sceaux. Anne Hidalgo devient « chargée de mission » le 12 juillet 2001 au cabinet Lebranchu. Elle n’a plus alors de portefeuille de compétences techniques clairement définies. En avril 2001, Delanoë l’emporte et voilà Hidalgo élue au Conseil de Paris et désignée première adjointe au maire de Paris. Hidalgo reste néanmoins rétribuée par le cabinet Lebranchu. Pendant ce temps, elle cumule traitement de détachement et indemnités d’élue parisienne. Les choses deviennent encore plus brumeuses après le 21 avril 2002 après la défaite de Jospin :  Hidalgo retourne au ministère de la santé, affectée à l’Inspection du Travail. Elle continue d’y accumuler de l’ancienneté administrative (en 2011 elle peut se targuer de 29 années de services). Elle n’est donc pas en disponibilité, ce qui lui assure logiquement un traitement. Parallèlement, elle est toujours première adjointe à Paris et fait de la politique de manière intense : membre du bureau national du parti socialiste depuis 2003 et, après le congrès de Dijon en 2005 secrétaire nationale à la culture. Depuis 2004, elle a même une fonction supplémentaire : elle est élue au conseil régional d’Île-de-France. Quadruple cumul : inspection du travail, première adjointe au maire de Paris, parti socialiste et région. Dont trois fonctions rémunérées. En avril 2008, après les élections municipales, elle demeure première adjointe et se voit attribuer la très lourde délégation à l’urbanisme. Cette seule fonction est, là aussi, de nature à occuper à temps plein. Peu importe : Hidalgo continue comme si de rien n’était à l’inspection du travail. C’est au grade de directeur du travail qu’elle prend finalement sa retraite en juillet 2011, à 51 ans. A noter que si elle a pu jouir d’une retraite anticipée si généreuse, c’est précisément parce qu’elle a continué à accumuler des droits à pension à l’inspection du travail de 2002 à 2011. Triple bénéfice pour elle, triple peine pour les contribuables parisiens franciliens et nationaux…

     

  • Scandaleuses prises de position pro-Femen et anti-chrétiennes de la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa : l’AGRIF demande sa démission .

     

     
    Scandaleuses prises de position pro-Femen et anti-chrétiennes de la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa : l’AGRIF demande sa démission !
     

     

    Bernard Antony, président de l’AGRIF, et Pierre Henri, responsable de la communication, communiquent :

     

    La très récente nomination au secrétariat d’Etat « à l’égalité femmes-hommes » de Marlène Schiappa est inquiétante à plus d’un titre, tant par le passé militant de cette dame, proche de la Libre Pensée et de la gauche laïciste anti-religieuse, que par ses prise de position publiques.

     

    L’on apprend ainsi que Marlène Schiappa a adressé un soutien explicite par lettre officielle aux Femen inculpées d’exhibition sexuelles, dans laquelle elle « s’interroge sur le sens du délit d’exhibition sexuelle », et « regrette que la persistance de stéréotypes sexistes conduise notre société à considérer […] la nudité des femmes comme offensante, quand celle des hommes est vue comme militante », ce qui ressortit à une mauvaise foi partisane outrancière. Pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté, la secrétaire d’Etat légitime l’action des fanatiques Femen en la rattachant aux droits des femmes « à disposer librement de leur corps » et les assure de sa « détermination à combattre, dans [ses] fonctions ministérielles et [son] engagement militant, tout ce qui peut faire obstacle à l’exercice de ce droit et de cette liberté inaliénable ». Un membre du gouvernement peut donc, sans rappel à l’ordre, contester une procédure de justice et cautionner, avec l’alibi du féminisme, les actions de violences hystériques des militantes Femen, en particulier les profanations de Notre-Dame et de la Madeleine pour lesquelles l’AGRIF les a poursuivies devant les tribunaux.

     

    Mme Schiappa s’était déjà illustrée, avant sa prise de fonction, par de consternantes déclarations, en particulier devant la Fondation Jean Jaurès à l’automne 2016, quand elle osait dire que « les religieux s’entendent entre eux » pour opprimer les femmes, opposent à l’avortement « un pseudo-droit à la vie », que la Doctrine sociale de l’Eglise tend à limiter les droits des femmes. Mais elle va plus loin encore dans l’ineptie, elle qui se veut pourfendeuse du « joug religieux », conforme en cela à l’esprit d’athéisme radical de la Libre Pensée : les messes diffusées sur France 2 sont une « infraction à la loi de 1905 » et propagent l’idée qu’il y a une « inégalité naturelle, de substance, entre les hommes et les femmes ». Cette risible énormité prouve bien que Mme Schiappa, dans une ignorance crasse tant du texte de la loi de 1905 que des religions, voue à ces dernières une haine idéologique systématique, en particulier au christianisme qui n’attire aucunement sa mansuétude, au contraire de l’islam des « quartiers populaires » et des « mères qui accompagnent les sorties scolaires voilées ».

     

    C’est en effet dans une lettre ouverte à Manuel Valls, en 2014, que Marlène Schiappa affirmait que les « quartiers populaires » (comprendre les banlieues islamisées) ne sont pas antisémites, et avançait cette démonstration stupéfiante : « L'article 1er de la loi de 1905 prévoit que la République "ne reconnaît, ne salarie, ne subventionne aucun culte". Ni plus ni moins. Interdire le voile c'est reconnaître le voile comme signe religieux, donc reconnaître une religion, interdire le voile à l'école est donc contraire à la loi de 1905. » Selon Mme Schiappa, la loi de 1905 interdit de reconnaître l’existence même des religions ! Il faudrait donc laisser libre cours à tous les signes religieux, ce que par ailleurs elle contestera fermement ! Ce propos hallucinant lui a été rappelé à juste titre par l’essayiste Alain Finkielkraut et montre que, derrière le laïcisme anti-religieux, se cache aussi une sourde complaisance pour l’islam, religion des « quartiers métissés» que cette adjointe au maire du Mans vante tant.

     

    Ces différentes prises de position conduisent l’AGRIF à demander la démission de la secrétaire d’Etat. Il n’est en effet pas concevable qu’un membre du gouvernement de la France puisse, ne serait-ce que verbalement, adhérer à une idéologie anti-religieuse totalitaire. L’AGRIF étudiera tous les moyens de recours contre Mme Schiappa et incite ses sympathisants et adhérents à signer la pétition de l’Observatoire de la Christianophobie :

     

    https://www.christianophobie.fr/cartes-des-evenements/2017/052017/marlene-schiappa-ne-veut-plus-de-messe-a-tele-petition#.WS_vqza1vIU

     

  • Marlène Schiappa veut interdire la messe à la télé et autoriser le voile à l’école…

     

    Marlène Schiappa, secrétaire d’État à l’égalité femmes-hommes du nouveau gouvernement, ne s’est pas simplement illustrée par ses conseils sexuels aux femmes rondes, elle appartient également à ce clan d’ayatollahs de la laïcité qui déteste le catholicisme mais ouvre les portes à l’islam.

    Dans une tribune publiée sur le Huffington Post en juillet 2014 et intitulée « Non, cher Manuel Valls, les quartiers populaires ne sont pas antisémites« , Marlène Schiappa se montre favorable au voile à l’école.

     « L’article 1er de la loi de 1905 prévoit que la République ‘ne reconnaît ne salarie ne subventionne aucun culte’. Ni plus ni moins. Interdire le voile, c’est reconnaître le voile comme signe religieux, donc reconnaître une religion. Interdire le voile à l’école est donc contraire à la loi de 1905« , a-t-elle écrit.

    Dans ce même texte, elle estime « qu’interdire aux femmes voilées d’accompagner les sorties scolaires de leurs enfants relève ni plus ni moins de l’islamophobie« .

    Mais cette même Marlène Schiappa qui veut permettre le voile à l’école, souhaite en revanche interdire « la messe et les cérémonies religieuses » à la télévision publique.

     

    Mai au fait, qui est Marlène Schiappa ?

    Connue comme blogueuse féministe, elle est l’auteur de différents livres. Dont Osez l’amour des rondes, paru en 2010 aux éditions La Musardine spécialisées dans la littérature érotique. Un livre considéré par plusieurs critiques féminines comme une compilation de clichés et de conseils inappropriés.

    20 minutes donne la parole à Daria Marx, membre du collectif « Gras politique », qui lutte contre la discrimination à l’encontre des personnes en surpoids.

    Pour Daria Marx, les problèmes commencent dès l’introduction, lorsque Marlène Schiappa tente de définir la femme ronde. Une mauvaise entame pointée aussi par une autre blogeuse, Audrey Paola. « Sous couvert de vouloir décomplexer les femmes corpulentes qui n’osent pas assumer leur vie sexuelle, on a droit à un catalogue d’idées reçues aussi fausses que celles qu’elles prétendent jeter aux orties », écrivait-elle. Elle citait alors une phrase de l’introduction : « Une seule idée reçue sur les rondes est avérée ? Elles sont sexy, elles sont sensuelles, elles attirent le mâle en rut et quand on y a goûté, on ne peut plus s’en passer »…

    « La fellation, spécialité des rondes » ?

    Certes, le livre se veut léger, mais ça ne pardonne pas tout, aux yeux de Daria Marx. Surtout que la suite d’Osez l’amour des rondes se corse encore un peu plus. Le chapitre listant les conseils pour séduire les hommes a particulièrement déplu à Daria Marx. « Je ne comprends pas pourquoi l’auteur pense utile de rappeler aux grosses qu’il faut se laver les dents, se laver, se maquiller… » Le livre conseille aussi de ne pas se goinfrer en public. « On mangera une sucette, pour rappeler l’aspect phallique du geste, mais pas un sandwich, qui pourrait faire penser à votre indélicate surcharge pondérale », écrivait Daria Marx, en février 2011, pour résumer l’esprit du livre. Là encore, il y a beaucoup à dire, mais Audrey Paola et Daria Marx s’attardent surtout sur un passage intitulé « La Fellation : la spécialité des rondes ». « Mais enfin, parce qu’on est ronde, on est donc censée être une experte dans ce domaine ? », s’insurge la première. On reste dans le cliché pour Daria Marx, « la grosse qui aime tant bouffer, aime forcément bouffer la queue de son amant », écrivait-elle en 2011. Le cliché de l’oralité est porté jusqu’à la fin de l’ouvrage, sans aucune trace de sarcasme dans les mots de l’auteure. Bref, « un concentré de grossophobie mais aussi de sexisme », résume aujourd’hui Daria Marx pour qualifier ce livre. « Sexisme car au final, Marlène Schiappa ne cesse de définir la femme grosse qu’à travers le prisme du plaisir qu’elle est censée offrir à l’homme », poursuit la militante de Gras Politique...